Tout ce que l’entreprise possède vient du client. Eh oui, tout le chiffre d’affaires de l’entreprise vient des poches du client. Et qui crée la relation, identifie le besoin, valide le budget et s’occupe de satisfaire le client ? Eh bien les « commerciaux » bien sûr. C’est donc eux la partie visible de l’iceberg qu’est l’entreprise.

De plus, le commercial, s’il veut soigner son client ainsi que l’image de son entreprise doit s’arranger – parfois au péril de ses relations avec ses autres collègues – pour adopter une attitude « win/win ». Cette attitude est la seule qui puisse mener à une relation de confiance sur le long terme. Mais ce n’est pas facile. Souvent, dans l’entreprise, certains collègues perdent de vue la finalité du business. Ils font alors passer des intérêts autres que ceux des clients en priorité. Le commercial est, à ce point, souvent perçu comme un empêcheur de tourner en rond. Cela dit, si vous rencontrez ça dans votre entreprise, pas de panique, vous n’êtes pas les seuls. Un peu de travail sur les processus internes et sur l’orientation client devrait permettre de tout régler.

C’est grâce au chiffre généré par le commercial qu’on peut (outre les mécanismes financiers) alimenter la recherche et le développement pour pérenniser l’activité future de l’entreprise. D’autant plus que c’est lui qui peut détecter chez les clients des opportunités de business auxquelles des personnes n’étant pas régulièrement en prise avec le « terrain » n’auraient pas pensé.

Petit plus, l’impôt généré par le produit de ses ventes sert la collectivité et ça, ce n’est pas rien, puisque tout le monde en profite.

Last but not least :

Il faut tout simplement une bonne dose de courage pour se faire remballer aussi souvent. Soyons honnêtes, personne n’aime les commerciaux. Ils sont parfois bien mal menés. Et pourtant, je l’affirme, moi… ce sont des héros !

Xavier Teichmann

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